Ce mois-ci, dans REALPOETIK, pas de Maxence Caron, pas de Georges Drano, pas de Pamela Wittgenstein, pas de G. Groisdansmonbénard, pas de Roland Pitiot, pas de Sammy Sapin, pas de Jacques Ancet, pas de Gérard Augustin, pas de Josiane Makélélé, pas de Jean-Marie Wabanga, pas de Simon Moreau.
Pas plus de Madeleine Vanneau, ni de Fatoumata Hortefeux, ni de Jean-Pierre Chambon, ni de Jean Esponde, pas de Maxime Duchâtray, pas de Véronique Menu, pas de Gisèle Ombrage, pas de Jean-Pierre Siméon.
Encore moins de Francis Combes. Ou de Jules Corniquet. Ou de Sacha Berck. Ou de Yann Sandale.
Et cela, pour une raison simple.
Parce que vous avez entre les mains REALPOETIK #12.
Le seul et l’unique.
Et que dans REALPOETIK #12, si ce n’est pas écrit dans les astres, ça l’est au moins sur votre écran, on trouve :
En bonne place, à l’entrée, en REALPOESI,
Brice Noval qui ne rajeunit pas.
Lilou Achab qui voit des hamsters partout.
Au carrefour des cultures, dans la bien nommée rubrique REPRODUCTION, Grosse Maman Lefebvre réanime un héros bouffi du rock’n’roll et offre à REAL une de ses rares incursions dans le poème d’amour.
Dans la MASSE CRITIQUE, Grégoire Damon qui développe une théorie du lait concentré sucré appliquée à Jérôme Bertin,
et Émile Puyg cause bistouille.
Et des grumeaux.
Et n’oubliez pas que si REALPOETIK #12 est si beau gosse, c’est qu’il a été sauvagement illustré par Laurent Santi.
En vous la souhaitant toujours meilleure de jour en jour,
Les tôliers.